Bonne Pratique

Une campagne emailing a 1 seconde pour convaincre le destinataire d’ouvrir le message avant que ce dernier soit supprimé ou marqué comme indésirable. 63% des internautes définissent un message envoyé sans leur accord par un inconnu comme spam1, et 28% y incluent les emails commerciaux1. Il est donc indispensable de travailler les premiers éléments visibles d’une campagne. Sarbacane Software, leader français sur le marché de l’emailing, vous donne quelques conseils pour améliorer l’objet de votre message et le nom de l’expéditeur.

L’objet : l’élément déterminant

Plus de la moitié des internautes reconnaissent un spam grâce à la ligne objet1. L’objet est un élément déterminant d’une campagne, il doit être réfléchi autant que le contenu du message. Celui-ci doit attirer l’attention du destinataire et le convaincre d’ouvrir l’email.

L’un des premiers paramètres à prendre en compte est sa longueur : 50 caractères maximum incluant les espaces sont recommandés, ainsi il pourra être lu dans la plupart des messageries. Un objet plus long risque d’être tronqué, donc incomplet. Cette taille étant limitée, la créativité est de mise afin de se différencier et donner en quelques mots une idée du message qui suit. Dans le logiciel Sarbacane, il est possible de connaître facilement cette longueur grâce au code couleur :

Objet de message d'un email

Pour renseigner rapidement le destinataire, un objet clair et précis est nécessaire pour l’inciter à ouvrir votre message.

La personnalisation de l’objet permet d’attirer l’attention du destinataire et d’augmenter les taux d’ouverture du message. Il est préférable d’inclure des informations personnelles mais générales comme l’état civil, le prénom, le nom de famille ou la ville d’habitation pour que le destinataire se sente concerné.

L’objet doit être en cohérence avec le contenu, afin de ne pas induire en erreur le destinataire. En effet, celui-ci se sentirait trompé par un objet qui n’a aucun rapport avec le contenu du message et les prochains mails auront de grandes chances de ne pas être ouverts ou seront directement classés en indésirable.

De temps et temps et selon le contexte, il peut être intéressant d’ajouter une touche d’urgence, avec des termes comme « dernier jour » ou « jusqu’à jeudi ». Ainsi le destinataire lira le mail rapidement. Ceci ne doit pas être systématique, au risque de voir les internautes se lasser.

 

Et inversement, 36% des internautes interrogés1 disent recevoir des e-mails importants comme une confirmation de commande, dans les courriers indésirables, voici quelques erreurs à ne pas commettre :

  • Les mots « gratuit », « crédit » et « cliquez » sont à proscrire, car le risque d’être considéré en spam est majeur.
  • Il est recommandé d’éviter les majuscules sur des mots entiers tout comme un objet vide pour passer les filtres anti-spam.
  • La répétition d’un même mot et l’excès de ponctuation, particulièrement les points d’interrogation et d’exclamation, sont mauvais pour la délivrabilité des campagnes e-mailing.
  • Même si un objet précédemment utilisé s’est révélé être particulièrement efficace, il vaut mieux ne pas le réutiliser à outrance.

Nouveauté : les caractères spéciaux

Depuis quelques mois, la tendance est à l’insertion des caractères spéciaux dans les objets des emails marketing. Ils permettent d’avoir une meilleure visibilité de l’emailing dans la boîte de réception des destinataires, car ils attirent l’attention et sortent du lot. Cependant, il faut les utiliser à bon escient et avec modération, en fonction du secteur d’activité et de la cible, et tester l’affichage du caractère sur différents terminaux afin de s’assurer de la bonne interprétation du caractère.

Dans Outlook : :-) Dernières Pièces : on a pensé à vous :-)

Dans l’application mail iOS : :-) Dernières Pièces : on a pensé à vous :-)

L’expéditeur : à ne pas négliger

Aujourd’hui, 66% des internautes reconnaissent un spam par le nom ou d’adresse de l’expéditeur1, il faut donc aussi y accorder une importance particulière.

Il est conseillé d’opter pour une dénomination reconnaissable comme le nom de l’organisme ou les nom et prénom d’un collaborateur qui a l’habitude de communiquer avec la cible. Etre reconnu par le client est nécessaire, c’est pourquoi il vaut mieux éviter de changer de nom d’expéditeur à chaque envoi. De même, utiliser une personne plutôt qu’une entreprise rendra la communication plus humaine.

Les adresses de réponse de type « noreply@ » ou « commercial@ » sont à éviter, n’étant pas identifiables par le destinataire.

Selon l’étude Email Marketing Attitude du SNCD, 78% des internautes préfèrent le canal e-mail pour recevoir des offres commerciales, ce canal est donc à privilégier. Utiliser une solution professionnelle telle que Sarbacane Software permet d’optimiser la délivrabilité des campagnes emailings.

D’avantage d’informations sont disponibles sur le blog de Sarbacane Software.

__________________________________________________________________

5ème édition de l’étude Email Marketing Attitude, SNCD

__________________________________________________________________

Cette article invité à été rédigé par Sarbacane Software.

 Et vous ? Comment utilisez-vous l’objet et l’expéditeur dans l’envoi de vos emails ?